Swenz : à la découverte du Fief

Swenz : à la découverte du Fief

Chez La Frasque, on aime la musique et on aime le foot.

Coach du Swenzy FC

Impossible, donc de rater le rappeur Swenz qui a profité de l’été pour annoncer le lancement de son propre club de foot : le Swenzy FC.

Evidemment, ce club est fictif. L’artiste s’en sert de métaphore pour expliquer à ses auditeurs que la musique qu’il produit vise à coacher leur quotidien. En effet, le rap de Swenz est motivant et son parcours est inspirant.

Dans l’interview Chrome, réalisée par NewTone sur les terrains de foot du Five (Paris 13), il explique qu’il cherche chaque jour à devenir meilleur. Selon lui, le seul échec, c’est d’abandonner.

 

Travail & persévérance

Voilà des années qu’il persévère dans sa discipline. Après 1 an à publier un son par semaine avec le concept de Mercredi Swenzy, sa chaîne SoundCloud était l’une des plus suivies du rap français. La chaîne YouTube Le Règlement l’a ainsi repéré et invité pour un freestyle qui assoit encore le style et la force de Swenz.

Chercher la paix, c'est préparer la guerre

Depuis, pas un bruit. C’est simplement qu’il était dans la salle du temps à développer ses jutsus pour sortir 3 projets en l’espace de quelques mois.

En août, il signe son retour avec la Surf Tape. C’est là qu’il annonce la création du Swenzy FC, qu’on prend plaisir à voir se développer grâce à une collaboration fructueuse avec MCK. Ce créateur talentueux a pris la place de Directeur artistique et lui a assuré une campagne promotionnelle hors du commun.

En octobre débute la série “Dans le Fief” ; 3 clips de morceaux composés, écrits et enregistrés en 24h avec des beatmakers de la communauté Ninja Squad.

Ils viennent annoncer la sortie de “Achète mon projet”, le 15 novembre.

Passionnés de musique ou de foot, perfectionnistes, travailleurs, fumeurs flemmards ; vous y trouverez votre compte.

La Frasque l’a découvert, à vous de le suivre.

Le Five (Paris 13) : 9 Avenue de la Porte de Choisy, 75013 Paris.

Crédits photo : Mathias Filippini

Theodore Cohen,